La marque c'est rendue célèbre avec sa gamme des séries 6000 qui n'ont cessés d'être fabriqué et modernisés sous d'autres noms (6000 XL pro, etc.) dans la gamme. Ils sont aussi les premiers concepteurs du détecteur de métaux digital avec le "EAGLE" dès 1988. White's était alors en avance technologique sur ces conurents, mais les résultats de ces déteceteurs sur le terrain sont controversés. Par contre, il certain que ces détecteurs sont appréciés des chercheurs de météorites australiens et russes.

Minelab est une marque australienne qui a assis sa réputation sur notamment la série des Sovereign, détecteurs robustes et puisssants. La série des Excaliburs, détecteurs sous-marins ont rencontrés également du succès. Minelab table sur la technologie BBS pour ces détecteurs. Les Explorer rencontrent un succès controversé, certains prospecteurs pensent qu'il s'agit d'appareils "lents" à analyser, et pas toujours fiable, d'autres pensent au contraire qu'il s'agit de détecteurs avant gardistes. Le débat est ouvert. Notons qu'en Australie, Minelab est concurencé directement par White's qui a sa clientèle depuis des années parmi les chercheurs d'or natif et de météorites (le série 6000 n'a pas été détronné dans ce milieu des chercheurs d'or et de météorites  malgré sa conception ancienne qui remonte à 1980!). Le point faible de la marque : des disques qui seraient fragiles d'après les utilisateurs (notamment sur les Excaliburs).

TESORO est le plus principal concurent mondial de C-SCOPE! La marque a bénéficié d'un excellent marketing à l'américaine avec de gros moyens financiers de la maison mère. TESORO a su produire des détecteurs miniaturisés, dont le rapport qualité prix est très intéressant. Leurs discriminations a été certainement exagérée, car sur le terrain, un simple CS 660 peut se mesurer sur ce côté à un TESORO de la gamme. Mais leur légéreté, leur miniaturisation, et leur discrimination correcte a fait que la gamme s'est imposée en Europe. Les femmes utilisent également beaucoup ce détecteur ultra léger. Actuellement la gamme des 770 XP de C-SCOPE est une réponse directe à TESORO. Certains pensent même que la nouvelle gamme XP de SCOPE sont des "TESORO" à la manière C-SCOPE. Et c'est vrai que ce n'est pas entièrement faux. Le concept est proche. TESORO s'est fait connaître avec son détecteur de légende le Silver Sabre Micro Max, qui est toujours produit, depuis 1986 dans sa version actuelle (régulièrement relookée et amélioré dans son électronique).

Une marque très utilisée aux Etats-Unis, et en Europe a été largement répandue le chercheur de Trésors bien connu : Didier Audinot. La marque est la première à avoir commercialisé un détecteur entièrement informatisé qui est le Garrett GTI 2500 dont la conception remonte déjà à 1988. Une longévité remarquable. Les utilisateurs des Garrett semblent satisfaits, mais certains prospecteurs reprochent à Garrett d'avoir créée des "usines à gaz". Le débat est ouvert.

La première marque française depuis l'époque des détecteurs Bothoa en 1979! XP s'est vite fait remarquer par ses remarquables séries des Goldmax et Adventis. Ce sont de bons détecteurs. Par rapport à Scope, ce sont des adversaires sérieux sur le plan puissance. Par contre ne discrimination, la discrimination sonore est supérieure à la discrimination par le système "tout ou rien" des XP. Plusieurs confrontations l'ont montré sur le terrain. Un Scope passe mieux en terrain pollué qu'un XP, par contre en terrain "convenable" comme un champ, c'est un redoutable adversaire! Le débat est ouvert.

Les détecteurs Bothoa fabriqués entre 1975 et 1983 furent les premiers détecteurs de métaux français à 100 pour cent. C'étaient de bons appareils, dotés d'une puissance étonnante. Leurs défauts étaient leurs relatives lourdeur pour les hauts de gamme. La gamme était large. Le détecteurs Bothoa furent pendant un temps prisés par des chercheurs de trésors comme par exemple Géraud de Cayron. La marque dut fermer ses portes, n'ayant pas pu produire ses détecteurs sur une échelle industrielle. Ils restent malgré l'époque lointaine de leur conception de bons appareils, qui pourraient en état de marche comme le Sounder 500, en faire "voir" à des détecteurs modernes.

La firme texane a commencée à s'imposer sur le marché européen voici environ 10 ans, alors que la marque existe puis de nombreuses années aux USA. Ce sont des détecteurs plutôt "légers", mais corrects. Mais leurs résistance et performances semblent médiocres d'après de nombreux prospecteurs. Cela serait des appareils faits surtout pour "l'initiation" semble-t-il ou pour la prospection occasionnelle. En face d'un SCOPE ou d'un GARRETT, un Bounty Hunter n'aurait aucune chance en terme de puissance, de discrimination et de puissance. Qu'en pensez-vous. Le débat est ouvert.

Compass était une marque de détecteurs aux résultats inégaux. La marque a disparue au milieu des années 1980 suite à un incendie de son usine dont elle ne se remis pas. Le Challenger semble avoir été le modèle le plus complet de la marque, et celui qui rencontra le plus de succès. L'électronique du Challenger fut controversé sur ce modèle, car les cartes électroniques étaient simplement revêtus d'un simple habillage plastique en guise de tropicalisation. (Voir à ce sujet d'anciens numéros de Prospection). Cela étant dit, cela n'empêcha pas Compass de rencontrer une bonne distribution en Europe, certains Compass sont encore en activité de nos jours. Didier Audinot lui même utilisa le Compass Challenger en son temps. Les performances auraient été par contre moyennes pour un "haut de gamme". Largement battu par des Scopes ou des Fisher! Le débat est ouvert.

Des détecteurs très médiocres, et quelques imitations étonnantes comme le Prospector 100 qui est une copie du CS 990 de SCOPE... mais avec des performances plus que mauvaises comme vous le verrez dans le banc d'essai ici. Le Prospector 100 est un détecteur chinois. Il en existe de nombreux autres exemples, pour un prix modique : de 20 à 50 euros max. vous obtenez que l'ombre d'un véritable détecteur de métaux! Le débat est ouvert.